Developement

How Low-Code development platforms enable agile applications?

How Low-Code development platforms enable agile applications?

We are going through an unprecedented crisis where the company must reinvent itself. New business, new processes, new approaches. How can we achieve such a rapid change with old world applications? I propose to explore a real alternative to meet your business needs. Discover how Low-Code development platforms allow you to create agile applications in a few weeks.

Low-code
Dashboard
What impact on application projects?

Development times are reduced, the developer profiles sought are less specialised and easier to train, and the applications are easier to operate and maintain. Non-computer scientists can contribute directly to the development of the application, which allows
the business to be really involved in the project. The implementation deadlines are shorter and as a result, the Business sees the realisation of its requests sooner.

Application
What does a low-code platform bring technically?

For a solution architect, a low-code platform opens new perspectives. In particular, they allow uniform processing of PC, Hybrid (HTML5 web browser) or natively mobile applications. They can share data with third-party databases in a bidirectional, synchronous, or asynchronous manner (via API, webservice, Rest, Odata, etc.). All deployment options are possible (public cloud, private cloud, on-premises) depending on the context of each company.

Low-code
How long has Low-Code been around?

Although the official term dates back to 2014 (Forrester), the concepts date back to the 1990s when people were already talking about automatic code generation, visual programming and development by users. Unlike “No-Code” platforms such as Microsoft PowerApps where no extension is possible, “low-code” platforms allow you to add programming if needed to create your own objects (widgets) that will be added to the standard toolbox. Today, developers are looking for tools that improve their productivity (object programming) and more efficient project methodologies, but the Agile method does not adapt well to the siloed work imposed by traditional programming. A low-code platform must also be an agile collaborative tool.

Low-code
Why are low-code platforms so successful today?

The explosion of the mobile application market in the private sector has made users of enterprise applications much more demanding and critical of the user experience offered by applications that have not evolved to the “full web”.

In addition, the rapid digitalisation of companies has increased the expectations of new functionalities from the business. IT could not meet these needs with its limited applications and its highly technical teams of developers, who were not very well versed in the analysis of new needs. A low-code platform will allow the creation of a mixed Business/IT team in an iterative process of design and improvement of a solution that is built as it moves forward.

What are the benefits for the company’s organisation? Increased reactivity and security: respond in a short time to a specific business need thanks to a common platform whose maintenance is controlled, without resorting to exotic software or the jungle of Excel/Access files. Business satisfaction with IT services improves accordingly. Theapplication portfolio becomes manageable for IT.

Bi-Modal Architecture

Bimodal architecture: keeping a standard ERP and managing innovation on the Low-Code platform

Shouldn’t low-code be limited to small, low-risk applications?

The evaluation criteria used by analysts (Forrester or Gartner) measure the ability of the leaders in this market to build robust applications and to manage the application lifecycle according to the most demanding standards. Banking and insurance groups use this type of platform for their most sensitive activities because they appreciate, among other things, the data encryption that these platforms offer natively, whereas many in-house applications struggle to be equipped with the latest security technologies.

To find out more about low-code development and to form your own opinion:

Discover the Mendix platform

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10 erreurs à éviter pour créer une nouvelle application sur-mesure

10 erreurs à éviter pour créer une nouvelle application sur-mesure

  1. Reproduire l’existant. A quoi bon faire un nouveau projet pour faire la même chose qu’avant ? Ce sera bien compliqué de justifier d’un quelconque Retour sur Investissement dans ces conditions. Il faut prendre du recul pour faire la part des choses entre ce qui est bon et qu’il faut continuer de faire et ce qui est néfaste et qu’il faut arrêter de faire.

  2. Accepter toute nouvelle demande du business telle quelle. Cette nouvelle demande reflète-t-elle un besoin de confort de l’utilisateur ou une vraie valeur ajoutée pour l’entreprise ? Il faut challenger ces demandes pour identifier les motivations profondes et les résultats attendus. Si la demande est mise en place, une mesure effective du résultat obtenu sur la durée est indispensable. Une demande dont le bénéfice n’est pas mesurable doit être doublement questionnée sur sa pertinence.

  3. Confier à une seule personne le soin d’imaginer la solution future. Personne n’est omniscient et le diable est dans les détails. Par conséquent, seule une équipe multidisciplinaire peut arriver à appréhender l’ensemble des particularités à traiter dans la future application. L’échange entre des personnalités différentes aboutit à une vision plus équilibrée et augmente les chances de succès.

  4. Ignorer les contraintes techniques. Certes la technologie a fait des progrès étonnants mais certaines d’entre elles peut être encore chères et peu fiables (par exemple la reconnaissance faciale). Si vous ne voulez pas exploser les plannings et les budgets, assurez-vous de l’assistance d’experts techniques capables de vous orienter vers des technologies matures et abordables.

  5. Se cacher derrière les contraintes techniques pour ignorer une demande fonctionnelle. Par facilité ou par ignorance, il est facile de repousser une idée sous prétexte qu’elle semble irréalisable. La bonne démarche consiste plutôt à croiser l’avis d’autres personnes en leur expliquant le besoin fonctionnel : il existe peut-être une solution alternative qui n’avait pas été imaginée ou bien une approche inédite est possible sous certaines conditions. Pas de « non » hâtif, mais toujours envisager les options possibles pour répondre à la demande.

  6. Adopter une méthodologie de projet en cascade. Un projet innovant est par nature un projet itératif qui doit délivrer du concret rapidement pour se confronter à la réalité du marché, apprendre de ses erreurs et corriger très vite le tir pour s’adapter à la demande réelle. Le business n’est pas en mesure de tout décrire et de penser à tout ce qu’une application sera censée faire aujourd’hui et encore moins demain. Alors il faut adopter une méthodologie Agile faite d’expérimentations, d’échecs, et d’adaptations permanentes.

  7. Gérer le projet de manière isolée, en dehors de toute vision stratégique. Une application s’inscrit toujours dans une stratégie d’entreprise. Sans une vision stratégique, comment décider dans quel sens l’application devra évoluer. Il serait impossible de faire des choix clairs sur la roadmap de l’application et on serait alors submergé par des demandes d’évolution qui partent dans toutes les directions et parfois contradictoires. Pour arbitrer entre les demandes, il faut avoir cette ligne de mire que constitue la vision stratégique de l’entreprise.

  8. Gérer un projet de type informatique. Certaines le département Informatique est concernée par plusieurs aspects du projet comme la sécurité, l’hébergement, l’intégration. Mais une nouvelle application Métier est avant tout un projet organisationnel et décisionnel du et pour le Métier. Par conséquent, le Métier doit s’emparer du lead de ce projet, et le département Informatique est un facilitateur du projet.

  9. Un projet sans ressource. Il n’est pas toujours possible de libérer à 100% des personnes clés de l’entreprise pour se consacrer entièrement au projet. Par conséquent, il faut adopter une organisation de projet qui optimise au mieux les ressources disponibles. Si les personnes clés peuvent libérer 40% de leur temps pour le projet, il faut faire montrer en compétences des personnes de l’équipe pour qu’elles assurent l’interim opérationnel à 40%, ce qui apportera de la polyvalence dans les équipes aussi après le projet. Les tâches de projet les moins critiques peuvent être confiées à des jeunes talents qui sont eux dédiés à 100% du projet et en seront les chevilles ouvrières. Les personnes-clés feront bénéficier de leur expérience et participent aux décisions.

  10. Adopter une plateforme technique de pur développement. Si vous pensez que tous les outils de développement se valent et que seul compte la qualité des développeurs, vous allez au-devant de lourdes désillusions. La rapidité avec laquelle les outils de développement évoluent pose de nombreuses questions : est ce que vos développeurs seront toujours à la pointe dans 3 ans ? est ce que l’éditeur de la plateforme de développement existera encore dans 3 ans ? est ce que vous trouverez sur le marché des développeurs formés à cet outil dans les prochaines années et à des tarifs raisonnables ? 

Voilà au moins 10 bonnes raisons de se rencontrer et de vous proposer une approche adaptée à votre contexte.